Concours Bio 2008
01 avril - Photo 20 - réponses closes (15 avril)
Ce requin est un pointe blanche de corail.
VRAI ou FAUX ?
Réponse
FAUX
Plus de précisionsIl s’agit d’un requin océanique (Carcharhinus longimanus – parfois appelé pointe blanche du large). Il vit en général au large et est assez curieux. Il vient volontiers voir les plongeurs (coucou !) et peut avoir un comportement agressif dans certaines zones où des humains indélicats ont pris l’habitude de le nourrir pour le spectacle…
Ne pas le confondre avec le requin pointe blanche de récif (Carcharhinus albimarginatus) ou le requin corail (Triaenodon obesus).
Ce requin est vivipare. Certaines espèces sont ovipares ou ovovivipares. Pouvez-vous expliquer la différence ?
Réponse
Chez les espèces vivipares, les embryons se développent dans l'utérus de la mère, alimentés par un cordon ombilical. Les autres espèces produisent des oeufs dont la maturation se fait à l'extérieur du corps de la mère (ovipares) ou à l'intérieur (ovovivipares).
Plus de précisionsL'amour et la reproduction chez les requins peuvent être plutôt féroces. L'accouplement est souvent brutal, il faut qu'il y ait pénétration et les partenaires n'ont d'autres solutions ... que de se mordre ! Les femelles en gardent de nombreuses cicatrices.
Chez les espèces ovovivipares (la majorité), la compétition parmi les embryons peut les mener à l'oophagie (le premier embryon éclos dévore les autres œufs) voire au cannibalisme intra-utérin.
Chez les requins océaniques, rien de tout ça : la mère donne naissance à des portées d’une quinzaine de juvéniles qui mettent quelques années à atteindre leur âge adulte.
A noter : des cas de reproduction sans accouplement ont été récemment observés et certains scientifiques pensent que les requins sont capables de parthénogenèse.
Quels sont les poissons qui accompagnent ce requin sur cette photo ?
Réponse
Ce sont des poissons pilotes (Naucrates ductor)
Plus de précisionsCes poissons sont des commensaux du requin océanique. Les juvéniles vivent parmi les méduses et les bancs d’algues pélagiques. A l’âge adulte, ils rejoignent un hôte (tortue, requin, quelques mammifères…). Ils se nourrissent de ses restes (rejets de nourriture) et parfois des quelques petits poissons et invertébrés qui ont échappé à leur hôte. On a longtemps pensé qu’ils participaient à son déparasitage, mais ce comportement n’a jamais été observé.
01 avril - Photo 19 - réponses closes (15 avril)
Est-ce un poulpe ou une pieuvre ? Quelle est la différence ?
Réponse
Les deux ! Ces deux termes désignent le même animal.
Plus de précisionsLe mot poulpe vient du grec polypos qui signifie « plusieurs pieds » et le mot pieuvre a été emprunté par Victor Hugo au patois de Jersey dans son roman « Les travailleurs de la mer ». Le succès fut tel que le mot pieuvre remplaça bientôt poulpe dans le vocabulaire courant.
Les poulpes sont inoffensifs pour l'homme.
VRAI ou FAUX ?
Réponse
FAUX
Plus de précisionsSans tomber dans les excès du romantisme hugolien avec des poulpes de plusieurs dizaines de mètres (qui dans la réalité sont plus des calmars que des poulpes), certaines espèces peuvent être dangereuses simplement... parce qu'elles sont toxiques !
Evidemment, ces espèces sont parmi les plus belles comme le poulpe à anneaux bleus (Hapalochlaena maculosa) dont le venin est parmi les plus dangereux.
Quelles sont les astuces des poulpes pour passer inaperçu ?
Réponse
Changer de forme, de couleur, de taille, se cacher dans des trous, mettre des pierres devant son trou, cracher un nuage d'encre ...
Plus de précisionsHé oui, le poulpe est plein de ressources ! Il faut dire qu'il est considéré comme ayant l'intelligence marine la plus développée après celle des dauphins, c'est dire !
Un jeu amusant et inoffensif si vous croisez un poulpe de nuit : éclairez-le (pas dans les yeux, please). Comme la lumière de la lampe est proche du blanc, c'est-à-dire un mélange de couleurs, son système pigmentaire de camouflage est désorienté et il change de couleur sans arriver à se fixer !
25 mars - Photo 18 - réponses closes (08 avril)
Réponse
VRAI Plus de précisionsRéponse
FAUX Plus de précisionsRéponse
il souffle dans le sable pour en faire ressortir les petits organismes (mollusques, larves et autres invertébrés) dont il se nourrit Plus de précisions25 mars - Photo 17 - réponses closes (08 avril)
Réponse
VRAI Plus de précisionsCes deux animaux vivent ensemble dans un même trou. Le gobie monte la garde à l’entrée du trou (et en profite parfois pour happer un peu de plancton). La crevette, elle, joue les terrassiers en déblayant inlassablement le trou. Elle est quasi aveugle et le gobie lui sert de système d’alarme. A cet effet, elle garde toujours une de ses antennes en contact avec le corps du poisson, sauf lors de ses brèves incursions hors du trou comme sur la photo. Les deux y gagnent : le gobie dispose d’un refuge toujours bien entretenu (lui qui est incapable de creuser) et la crevette dispose d’un système d’alarme très performant. Il s’agit donc bien d’une symbiose….
A noter : certains spécialistes différencient la symbiose (association « obligatoire » en ceci que les deux protagonistes ne pourraient survivre s’ils étaient séparés) et le mutualisme (association facultative, mais bénéfique aux deux parties).
Réponse
une symbiose est une association durable entre deux espèces dont chacune tire profit. Il existe d'autres types d'associations parmi lesquelles principalement le parasitisme et le commensalisme. Plus de précisionsLes associations entre espèces sont en effet nombreuses et de nombreux types. Nous ne prétendons pas couvrir le sujet (un site web spécifique serait nécessaire), nous noterons simplement deux autres grands types d’association : le parasitisme où une des espèces profite de l’association au détriment de l’autre et le commensalisme où une des espèces profite de l’association, mais sans gêner l’autre.
Réponse
être patient, inspirer et souffler doucement, ne pas faire de gestes brusques, ne pas projeter d'ombre, si possible se tenir à contre-courant. Plus de précisions18 mars - Photo 16 - réponses closes (01 avril)
Réponse
le baliste Plus de précisionsRéponse
il a probablement retourné le problème au sens littéral du terme, en soufflant de l'eau sous l'oursin pour le faire basculer. Plus de précisionsCe comportement de chasses a pu être observé aussi auprès d’autres échinodermes comme les étoiles de mer (voir ci-dessous) comme les Acanthaster qui se font retourner par… des crevettes (musclées) qui les dévorent ensuite par le dessous.
Réponse
les étoiles de mer, les holothuries ou concombres de mer, les ophiures et les crinoïdes (ou comatules) Plus de précisionsTous ces animaux sont benthiques (ils vivent sur le fond), ont une symétrie dite pentariadée (acquise à l’âge adulte) et présentent un autre point commun troublant : on n’a jamais trouvé chez eux de signes de vieillissement…
18 mars - Photo 15 - réponses closes (01 avril)
Réponse
le poisson-clown est protégé par le mucus qui recouvre sa peau. Ce mucus lui sert de leurre chimique pour tromper l'anémone qui ne le voit pas comme un corps étranger. Plus de précisionsA noter : en mer Rouge, il n’existerait qu’une seule espèce de poisson-clown (sur la trentaine répertoriée) : le poisson-clown à deux bandes.
Réponse
FAUX Plus de précisionsRéponse
sauf rares exceptions, elle est unique. C'est la plus grande en taille (et la plus âgée, mais ça c'est difficile à voir sous l'eau). Plus de précisionsIl est amusant de noter, à ce propos, que Marin, le père de Nemo, aurait dû devenir assez vite Marine.
11 mars - Photo 14 - réponses closes (25 mars)
Réponse
il est presque impossible de distinguer les différentes espèces de Dendronephthya, même pour un biologiste, sans une analyse en laboratoire. Alors d'après une photo... Plus de précisionsRéponse
ils sont herbivores ! Plus de précisionsC’est en 1995 seulement qu’une biologiste allemande a trouvé la réponse : ils sont herbivores, se nourrissant de phytoplancton. Comme il y a environ 10 fois plus de phytoplancton que de zooplancton, il n’a pas de mal à se rassasier !
Réponse
ce sont des sclérites calcaires qui servent à rigidifier le corps de la colonie en même temps qu'elles la rendent très piquante. Plus de précisions11 mars - Photo 13 - réponses closes (25 mars)
Réponse
VRAI Plus de précisionsRéponse
cet organe sert à l'écholocation, c'est-à-dire à localiser des objets (par exemple, des proies) en analysant l'écho sonore de sons émis par le dauphin. Plus de précisionsLes sons graves portent plus loin que les sons aigu, mais sont de faible précision. Aussi, le dauphin utilise d'abord des sons graves pour analyser son environnement. S’il reçoit un écho intéressant (par exemple une proie), il émet des sons de plus en plus aigus à mesure qu’il s’approche pour avoir une meilleure précision. On pense qu’il peut émettre des sons de fréquence suffisamment élevée pour percevoir la structure interne d'un objet à la manière d'une échographie.
Réponse
FAUX Plus de précisionsLes dauphins de la photo sont probablement des grands dauphins.
04 mars - Photo 12 - réponses closes (18 mars)
Réponse
FAUX Plus de précisionsRéponse
d'une part par leur vue et d'autre part grâce à leur ligne latérale qui détecte les mouvements des poissons voisins. Plus de précisionsOn suppose que ces deux éléments conjugués permettent au banc de conserver sa cohésion.
A savoir : un banc n’est pas hiérarchisé, tout mouvement d’un des poissons (généralement sur l’extérieur du banc) peut provoquer un changement dans la direction prise par le banc.
Réponse
elle peut entraîner une intoxication alimentaire si on la consomme. Cette intoxication porte le nom de ciguatera. Plus de précisionsElle survient dans les eaux tropicales. Les toxines qui la déclenchent sont présentes dans des micro-algues qui prolifèrent sur les récifs coralliens dégradés. Ces micro-algues sont consommées par les herbivores : poissons, crustacés (dont un du nom de cigua qui a donné son nom à la maladie) et autres. Les herbivores transmettent les toxines aux carnivores lorsqu’ils sont mangés par ceux-ci. Les toxines remontent ainsi la chaîne alimentaire pour devenir très concentrées chez ceux qui en occupent le sommet, comme par exemple les barracudas !
Nota : en Nouvelle-Calédonie, la ciguatera est surnommée « la gratte » car l’un de ses symptômes est de provoquer des violentes démangeaisons dans la paume des mains et la plante des pieds.
04 mars - Photo 11 - réponses closes (18 mars)
Réponse
VRAI Plus de précisionsRéponse
FAUX Plus de précisionsRéponse
il existe 7 ou 8 espèces de tortues marines selon les scientifiques, Toutes sont en danger d'extinction (à des degrés divers, certes) Plus de précisionsL'espèce « controversée » est la tortue franche du Pacifique (Chelonia agassizii), présente dans la partie ouest des deux Amériques. Elle est souvent considérée comme une variante locale de la tortue verte. Alors, espèce, sous-espèce ou variante ? Les scientifiques n'ont pas tranché pour l'instant.
Toutes ces tortues sont menacées d'extinction, du fait de la pollution marine (un exemple : les sacs plastiques que les tortues ingèrent croyant manger des méduses et dont elles meurent d'occlusion intestinale…), du braconnage (toutes les espèces de tortue marines sont protégées), de la pression démographique de l'homme sur les zones de ponte (certaines espèces ne pondent que sur quelques plages précises dans le monde, malheureusement dans des zones riches en pétrole), des prises accidentelles dans les filets dérivants ou non, etc.
26 février - Photo 10 - réponses closes (11 mars)
Réponse
un ver arbre de Noël (Spirobranchus sp.) Plus de précisionsRéponse
VRAI Plus de précisionsRéponse
il se replie dans son tube et ferme son opercule Plus de précisions26 février - Photo 9 - réponses closes (11 mars)
Réponse
ça dépend (ha ha ha) mais probablement FAUX Plus de précisionsRéponse
ses épines dorsales sont venimeuses et les piqûres occasionnées peuvent être fortement douloureuses. Plus de précisionsRéponse
la journée, ce poisson se cache dans le récif, dans les trous et sous les surplombs. La nuit, il sort pour chasser les petits poissons et crustacés. Plus de précisionsEn plongée de nuit, il arrive que ce poisson vous suive, se servant de vous comme « cache » pour chasser à l’affût. Si vous éclairez alors un petit poisson, il sort de sa cachette et se rue dessus pour l’avaler en ouvrant une large gueule… Impressionnant !
19 février - Photo 8 - réponses closes (04 mars)
Réponse
un labre Napoléon femelle (Cheilinus undulatus) et une multitude d'anthias ou barbiers (Pseudanthias squamipinnis) Plus de précisionsA noter : un Napoléon juvénile a été péché accidentellement pour la première fois en Méditerranée (au large de l’Algérie) voici deux semaines, ce qui semble confirmer la « tropicalisation » de cette mer.
Réponse
elles sont toutes les deux hermaphrodites protogynes. C'est-à-dire qu'ils commencent par être femelles puis deviennent mâles. Plus de précisionsChez les Napoléon, la maturité sexuelle est atteinte entre 5 et 7 ans. D’abord femelle, il semble qu’il devienne mâle lorsqu’il atteint une certaine taille. Ce comportement a été à l’origine de problèmes en mer Rouge où les plongeurs avaient pris l’habitude de nourrir les Napoléon pour les attirer, ce qui s’est traduit par une surpopulation de mâles de plus en plus agressifs…
Réponse
Le poisson Napoléon, en raison de la surpêche Plus de précisions19 février - Photo 7 - réponses closes (04 mars)
Réponse
Nudibranche signifie « ouïes nues » en latin Plus de précisionsParmi leurs cousins maritimes, on trouve les limaces de mer et les lièvres de mer.
Réponse
il ne s'agit pas d'une parade amoureuse, les nudibranches de cette espèce ont juste l'habitude de se déplacer par deux, l'un suivant l'autre. Plus de précisionsRéponse
ils ne le consomment pas, mais le stockent dans des sortes de sac à venin qui leur permettent de se défendre contre leurs propres prédateurs. Plus de précisions12 février - Photo 6 - réponses closes (26 février)
VRAI ou FAUX ?
Réponse
VRAI. Plus de précisionsRéponse
l'espèce n'est présente qu'en mer Rouge. Plus de précisionsVRAI ou FAUX ?
Réponse
FAUX Plus de précisionsMême si elles paraissent fixées sur le fond, elles peuvent se déplacer. Certaines espèces sont même capables de nager en pleine eau. En fait, on considère aujourd’hui que les anémones de mer sont les premiers animaux complexes à avoir été capables de mouvement. Seules les éponges seraient plus anciennes sur l’échelle de l’évolution.
12 février - Photo 5 - réponses closes (26 février)
Réponse
il s'agit du Labre Traître ou Labre trompeur ou Labre à long museau ou encore Epibule trompeur (ouf !) Plus de précisionsRéponse
il peut la projeter en avant sous forme de tube, afin de capturer ses proies par surprise Plus de précisionsRéponse
C'est un mâle. La femelle a une robe qui varie du jaune au brun, avec toujours un beau trait noir qui traverse l'oeil. Plus de précisions05 février - Photo 4 - réponses closes (19 février)
Réponse
FAUX Plus de précisionsRéponse
les hippocampes Plus de précisionsRéponse
la femelle confie ses oeœufs au mâle qui les féconde, puis les incube pendant plusieurs semaines avant de donner naissance aux petits Plus de précisions05 février - Photo 3 - réponses closes (19 février)
Réponse
Doublement FAUX Plus de précisions2- Les murènes ne disposent pas de glandes à venin. Leur bouche peut cependant être recouverte d’un mucus toxique qui rend leur morsure dangereuse. Comme en plus elles ne se lavent pas souvent les dents, elles laissent dans la blessure des tas de saletés qui ne demandent qu’à s’infecter…
Réponse
Non Plus de précisionsRéponse
c'est un labre nettoyeur qui se nourrit en déparasitant les autres poissons Plus de précisionsCes poissons appartiennent au grand corps de métier des nettoyeurs sous-marins (pour L. quadrilieatus, seul le juvénile est un nettoyeur). Ils offrent leurs services au sein de véritables stations de nettoyage.
Cette pratique est si répandue que des « faux nettoyeurs » (des blennies) en profitent pour imiter les labres et arracher des morceaux de chair à des poissons trop confiants et dupés.
29 janvier - Photo 2 - réponses closes (12 février)
La photo représente une sole de lait (ou sole de Moïse). Comme le poisson de la photo 1, elle vit sur le sable. Ces deux poissons sont-ils apparentés ?
Réponse
Non
Plus de précisionsPrécision : leur seul lien de parenté serait que ce sont toutes deux des poissons ! En effet, la raie est un poisson cartilagineux et la sole un poisson osseux.
Puisque nous parlons des yeux, quelle est la particularité de ceux de la sole ?
Réponse
Ils sont situés sur la même face (la face droite)
Plus de précisionsQuand la sole est encore à l'état larvaire, ses yeux sont symétriques, un sur chaque face. Lorsqu'elle se développe, l'oeil gauche migre vers la face droite.
A noter, cette sole sécrète un venin très virulent que l'on utilise en particulier pour faire des produits répulsifs pour les requins !
Quelle est la principale différence anatomique entre les soles et les turbots ?
Réponse
Les yeux de la sole se regroupent sur son flanc droit, les yeux du turbot sur son flanc gauche.
Plus de précisionsEt puis aussi : une autre différence, de taille celle-là, c'est que les soles atteignent un poids maximal de 3 kg, alors que des espèces de turbot peuvent aller jusqu'à 25 kg.
29 janvier - Photo 1 - réponses closes (12 février)
A quel poisson appartient cet œil ?
Réponse
Il s'agit d'une raie pastenague à taches bleues (Taeniura lymna).
Plus de précisionsTaches ou points ? C'est clair, les noms communs des poissons varient énormément d'un guide à l'autre, d'une région à l'autre, parfois même d'une ethnie à l'autre... Néanmoins, il semble que la raie à taches bleues soit Taeniura lymna et la raie à points bleus Dasyatis kuhlii (que vous pouvez admirer ici... en anglais). Mais c'est du pinaillage de spécialiste !
Les poissons sont classés en deux grands groupes : les poissons osseux et les poissons cartilagineux. A quel groupe appartient ce poisson ?
Réponse
Au groupe des poissons cartilagineux.
Plus de précisionsPour les fans de biologie scientifique : il s'agit de la classe des Chondrichtyens (Règne animal, Embranchement des chordés, sous-embranchement des vertébrés) ou "poissons à squelette cartilagineux" (parfois considérée comme une super-classe). L'autre classe est la classe des Ostéichtyens ou "poissons à squelette osseux". A noter, il existe une troisième classe : celle des agnathes (ou poissons sans mâchoires) dont font partie les lamproies par exemple.
Quelle autre grande famille de poissons appartient à ce groupe ?
Réponse
Il s'agit des requins bien sur !
Plus de précisionsLa classe des poissons cartilagineux est divisée en général en deux sous-classes : les élasmobranches qui regroupent les requins et les raies et les holocéphales qui regroupent les chimères. Je paie personnellement un jus de mangue au premier ou à la première qui me ramène une photo de chimère prise par lui (elle) et je triple la mise s'il me la montre sous l'eau !